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Bilan des JO Paris 2024 et des Paralympiques : du positif pour Châteauroux, "c’est prouvé que l’on sait faire de grandes choses"

Châteauroux et plus largement le département de l'Indre, attendaient beaucoup des Jeux Olympiques et des Paralympiques. S'ils ont bien gagné en notoriété en France et à l'étranger, si les hôteliers sont satisfaits et ont connu une fréquentation proche de 100%, ce n'est pas le cas d'autres acteurs comme les restaurateurs, pour la plupart déçus.

La copie aurait pu être parfaite mais elle ne l'est pas. Si la ville de Châteauroux a montré sa capacité à organiser une épreuve des Jeux Olympiques et des Paralympiques, les interlocuteurs et acteurs du tourisme, eux, sont partagés : les hôteliers sont ravis, les restaurateurs sont pour la plupart relativement déçus. 

Les hôteliers ravis

Dans son hôtel indépendant situé à deux pas de la place de la République en plein cœur de Châteauroux, Régis Tellier, gérant et propriétaire de l'Élysée se dit très satisfait : "Nous étions complets à chaque fois. C'était une belle saison avec un beau taux de remplissage". Avant d'ajouter avec un sourire que l'on devine au téléphone. "J’ai fait de belles rencontres. Les gens restaient longtemps donc on a bien sympathisé. C’est bénéfique, on espère qu’il y aura des retombées avec des clients qui sont venus et qui reviendront peut-être par curiosité".

Pour 75% des restaurateurs, leur chiffre d’affaires a été égal ou inférieur sur la même période à 2023 

Du côté des restaurateurs, ce n'est pas le même son de cloche. Contacté par téléphone, Joffrey Rouleau, restaurateur indépendant du 32 est plus mesuré : "Je suis assez content dans la mesure où je n’avais rien anticipé. Je n’ai rien fait pour les JO car je sentais gros comme une maison que ce ne serait pas pour moi, pas pour le type d'établissement comme le nôtre".

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JO de Paris 2024 : +16,9% de CA pour les restaurateurs de la capitale selon Lightspeed

Les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 ont eu un impact considérable sur l’économie locale, en particulier sur le secteur de la restauration en Île-de-France. C’est ce que révèle l’analyse approfondie des données des restaurants clients dévoilée par Lightspeed, la plateforme de commerce tout-en-un à destination des commerçants souhaitant créer des expériences client exceptionnelles. Cette étude révèle une augmentation significative des dépenses des consommateurs pendant la période des Jeux, par rapport à la même période, l’année précédente. Une croissance qui témoigne de l’influence des grands événements internationaux sur la dynamique économique locale.

Hausse du chiffre d’affaires, progression du nombre de transactions : un effet direct de l’affluence Olympique

Pendant la période des Jeux Olympiques de Paris 2024, les restaurants de la capitale ont enregistré une croissance notable de leur chiffre d’affaires. Les ventes totales ont augmenté de 16,90%. Cette forte augmentation est un signe clair de l’affluence accrue dans les établissements de restauration durant cet événement mondial.

En parallèle, le nombre total de transactions a également progressé, avec une hausse de 10,18%. Ce chiffre montre que les Jeux Olympiques ont attiré un flux important de clients, renforçant ainsi la dynamique du secteur de la restauration à Paris.

Tickets moyens plus élevés et pourboires en hausse : une clientèle plus généreuse

Concernant les dépenses des clients, les résultats sont également en hausse. La taille moyenne des tickets a augmenté de 3,57%, passant de 48,66 € en 2023 à 50,40 € en 2024. De manière similaire, la taille médiane des tickets a progressé de 3,54%, ce qui indique que les clients dépensent légèrement plus par transaction.

L’analyse révèle aussi une évolution intéressante concernant les pourboires. En 2023, 7,31% des tickets comprenaient des pourboires, un chiffre qui a grimpé à 11,11% en 2024. Cette hausse traduit un changement de comportement, avec des pratiques de pourboires plus généreuses pendant la période olympique.

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À Bordeaux, l’été marqué par une fréquentation touristique en légère baisse

Météo médiocre, baisse du pouvoir d’achat, contexte politique tendu, effet des Jeux olympiques : la baisse de la fréquentation touristique observée à l’échelon national se retrouve à l’office de tourisme de Bordeaux

Un été « contrasté », c’est le terme diplomatique utilisé par l’office de tourisme et des congrès de Bordeaux Métropole au moment de publier les chiffres de juillet et août 2024. Si l’établissement métropolitain rappelle opportunément que l’activité est en progression depuis janvier (+ 3 % pour le nombre de nuitées, + 3,3 % pour le nombre de journées congrès), il admet qu’elle est en baisse pour les deux mois d’été : la fréquentation de l’office de tourisme a chuté de 7,5 % et le nombre de nuitées (hôtels et locations saisonnières), de 3 % par rapport à 2023. Le taux d’occupation devrait ainsi atteindre les 70 %, contre 74 % l’été précédent.

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Marina Ferrari, nouvelle ministre déléguée au tourisme

Marina Ferrari succède à Olivia Grégoire en tant que ministre déléguée chargée de l’économie du tourisme. La FNHPA salue la nomination d’un ministre « à plein temps » pour l’économie touristique.

Après avoir été secrétaire d’Etat au numérique du gouvernement Attal, Marina Ferrari hérite du portefeuille du tourisme au sein du gouvernement Barnier. Elle succède ainsi à Olivia Grégoire, dont on rappellera qu’elle avait la charge d’un portefeuille plus large : PME, Commerce, Artisanat et Tourisme.

Fait particulièrement notable, Marina Ferrari est désignée ministre en charge de l’économie du Tourisme, intitulé dont on peut remarquer qu’il traduit en soi la reconnaissance de l’importance du secteur, soit environ 8% du PIB français.

Comme le souligne notre confrère Le Monde, cela fait dix-sept ans (2007) que le tourisme n’a pas bénéficié d’un ministre « à temps plein ». Un signal fort pour les acteurs du tourisme.

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Près de Redon, entre marais, Vilaine et mégalithes, un circuit touristique de 42 km a vu le jour

Samedi 21 septembre 2024, élus de La Chapelle-de-Brain, de Saint-Just et de Renac (Ille-et-Vilaine) se sont retrouvés pour inaugurer un circuit de 42 km. Un projet qui résulte de l’alliance touristique entre les trois communes.

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Communiqué de presse : développement du tourisme – signature du 1er contrat de destination touristique

Ce jeudi 19 septembre, la Région Hauts-de-France, la Communauté d’agglomération des deux Baies en Montreuillois (CA2BM), la Communauté de communes du Hauts-Pays du Montreuillois (CCHPM) et la Communauté de communes des 7 Vallées (CC7V), les villes de Berck-sur-Mer, Camiers - Sainte-Cécile, Etaples-sur-Mer et Le Touquet-Paris-Plage, l’association Opale & Co, le Département du Pas-de-Calais, Hauts-de-France Tourisme et Pas-de-Calais Tourisme ont signé un contrat de destination touristique baptisé « Aux origines de la Côte d’Opale ».

Celui-ci fixe les enjeux touristiques du territoire ainsi que les projets qui y verront le jour jusqu’en 2027, avec pour objectif de devenir une destination quatre saisons à (re)découvrir en famille.

Développer le tourisme en Hauts-de-France

En 2024, la Région Hauts-de-France lance les contrats de destination touristique qui viennent prendre le relai des contrats de rayonnement touristique développés sur la période 2024-2027.

Les enjeux sont multiples : Passer d’un tourisme d’étape à un tourisme de plus longue durée ; affirmer les marqueurs du territoire ; définir les objectifs de transition et de développement de l'offre au regard des cibles "marché" et "client" ; intégrer les enjeux du tourisme durable et de REV3 dans les actions accompagnées ; ancrer dans les territoires les stratégies touristiques régionales (mémoire, mobilités douces, gastronomie, innovation, savoir-faire) et inscrire les projets transversaux (ERBM, Pacte SAT, CSNE, Vallée de Somme Vallée idéale...).

Neuf contrat seront signés en 2024, les autres sont en cours de préparation pour 2025. La loi NOTRe a défini le tourisme comme une compétence partagée entre la Région, les Départements et les Intercommunalités. En Hauts-de-France, la Région a souhaité dès 2017 favoriser les démarches collectives afin que les acteurs d’un même territoire définissent ensemble la stratégie de développement touristique dans une logique de destination. En Hauts-de-France, où le développement touristique est fondé sur l’initiative des acteurs locaux, la Région met en place ces contrats en faveur du développement et de l’accompagnement aux mutations du tourisme de ce type sur l’ensemble des Hauts-de-France.

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Avec Virgin Voyages, l’occasion de partir en croisière… sans les enfants

Certains restaurants avaient déjà opté pour la formule, mais le secteur du tourisme n’est pas en reste. À en croire BFMTV, les vacances sans enfants sont de plus en plus populaires. À tel point que des croisiéristes proposent des séjours où les enfants sont interdits ! C’est le cas de Virgin Voyages, la compagnie de Richard Branson, qui a commencé à opérer ses premiers bateaux il y a environ quatre ans. À ce jour, la compagnie de croisières possède trois bateaux : le Valiant Lady, le Scarlet Lady et le Resilient Lady (avant la future arrivée du Brilliant Lady). C'est sur les deux derniers bateaux que Virgin Voyages arrive en Europe.

Certains restaurants avaient déjà opté pour la formule, mais le secteur du tourisme n’est pas en reste. À en croire BFMTV, les vacances sans enfants sont de plus en plus populaires. À tel point que des croisiéristes proposent des séjours où les enfants sont interdits ! C’est le cas de Virgin Voyages, la compagnie de Richard Branson, qui a commencé à opérer ses premiers bateaux il y a environ quatre ans. À ce jour, la compagnie de croisières possède trois bateaux : le Valiant Lady, le Scarlet Lady et le Resilient Lady (avant la future arrivée du Brilliant Lady). C'est sur les deux derniers bateaux que Virgin Voyages arrive en Europe.

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Un groupement associatif propose une « taxe grands voyageurs » pour réduire le trafic aérien

Une « taxe grands voyageurs » pour « sécuriser la relance ferroviaire »

Leur mesure phare est la création d’une « taxe grands voyageurs » qui fonctionnerait à l’inverse du système de fidélités des « miles » : plus un passager prend l’avion, plus le prix unitaire d’un billet augmente. Selon la modélisation du Réseau Action Climat (RAC), cette mesure « permettrait de baisser les émissions du secteur aérien de 13,1%, tout en faisant peser l’essentiel de l’effort sur les passagers les plus réguliers et en générant 2,5 milliards (d’euros) de recettes ».

Elle contribuerait également, selon RAC, à « sécuriser la relance ferroviaire » ainsi qu’à « améliorer l’équité fiscale entre les Français ». Parmi d’autres propositions figurent l’interdiction des jets privés, la suppression des vols courts ou l’instauration d’un quota d’un aller-retour par an et par personne. Le transport aérien est, d’après le mouvement associatif, utilisé « surtout par les personnes aisées, urbaines, diplômées et plutôt jeunes pour partir en vacances ».

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Fermeture de la base d’easyJet à Toulouse : les quatre leçons à retenir

Fermeture de la base d’easyJet à Toulouse : les quatre leçons à retenir